Présentation de Shin

HORS-RPG
o Prénom : Désolé mais c’est pas vos affaires =p
o Age : 20 ans
o Lieu où vous habitez : Quelque part en France.
o Profession : Glandeur

RPG
o Nom et Prénom de votre Perso : … Shin
o Age de votre Perso : 19 ans
o Clan que vous souhaiteriez rejoindre :
o Affinité souhaitée :

o Description Physique de votre Perso :

o Description Mentale de votre Perso :

o Test Rp :
[Posts suivant =p]

Dans l’obscurité de la nuit, une silhouette marchait, lentement. Elle faisait bien attention à ce que personne ne la repère, même si le ciel facilitait sa tâche. En effet, il s’agissait d’une nuit de nouvelle lune, rendant ainsi l’astre lunaire totalement invisible, ne dispensant aucune lumière pour éclairer la terre. Et il fallait bien avouer que, dans tous les cas, il préférait largement cette obscurité plutôt qu’une lumière de pleine lune. Déjà, c’était une situation bien plus pratique pour s’infiltrer discrètement dans un endroit, mais, en plus de cela, il préférait naturellement l’obscurité à la lumière, qu’il ne supportait que difficilement. Bien évidemment, quelques torches, tenues pas des gardes en patrouille, dispensaient une légère lumière autour d’eux, mais cela ne gênait en rien l’intrus. Au contraire, cela lui permettait de savoir où se trouvaient ces fameux gardes, et ainsi pouvoir se déplacer en fonction. Vraiment, tout était de son côté pour que son entreprise réussisse.

Soudainement, la silhouette se figea. Un garde venait dans sa direction et il allait être difficile de l’éviter. D’après la concentration de lueurs qu’il voyait au loin, le campement où il voulait aller était juste en face. Et, bien évidemment, le garde patrouillait entre ce campement et l’intrus. Il n’y avait donc que deux solutions possibles, et pas une de plus. Soit il faisait un long détour, au risque de perdre du temps et de tomber sur quelqu’un d’autre surveillant de la même façon, soit il se débarrassait du gêneur. Et il fallait avouer une chose. La deuxième solution étant la plus intéressante, et de loin. Il attendit donc un peu, que le garde soit arrivé au bout de son chemin de patrouille et fasse demi-tour, retournant ainsi vers le campement. A ce moment là, il avança discrètement, jusqu’à se trouver juste dans le dos du malheureux. Rapidement, il plaqua sa main gauche contre sa bouche, l’empêchant ainsi de donner l’alerte, et le bloque le mieux possible avec son autre main. Puis, s’en perdre de temps, il lui régla son sort de façon fort simple, du moins pour lui. Des os poussèrent de sa poitrine, transperçant de part en part le pauvre garde, qui était plaqué contre lui. Un moyen bien rapide et efficace de tuer quelqu’un, surtout que personne ne devait les avoir repéré. Malgré tout, le mystérieux intrus pris soin de cacher le corps, le mettant hors du chemin de sortie du campement. En effet, il valait mieux être trop prudent que pas assez.

Là, bien évidemment, vous devez vous demander une chose. Comment quelqu’un pouvait faire sortir ses os de sa poitrine ? Bien évidement, pour une personne normalement, cela était totalement impossible. Mais voila, là était la subtilité. Pour une personne normale. Or, en aucun cas cette personne n’était normale. Pour lui, ses os étaient sa seule et unique arme, et il fallait avouer qu’ils étaient efficaces, mortellement efficaces, comme vous venez de le constater. Des os plus dur que la normale, et pouvant être contrôlés à sa guise, que ce soit leur nombre, ou encore leur longue. Cette particularité, il le tenait de sa famille. Un ancien clan de combattants nomades. Les Kaguya s’il se rappelait bien, ou du moins quelque chose du genre. Enfin, ce n’était qu’un nom. Et d’ailleurs, il fallait aussi préciser une chose. Le campement qu’il cherchait à infiltrer était justement celui de ce clan. Là est le plus étrange. Pourquoi pénétrer discrètement dans le camp de sa propre famille ? Et bien, pour comprendre cela, il vaut mieux revenir plusieurs années en arrière. 16 pour être précis.

~16 ans auparavant~

Cela remonte à loin, et pourtant, je m’en souviens comme si c’était hier. Même si, à l’époque, je n’avais que trois ans, de tels événements restent à jamais ancrés dans la mémoire de quelqu’un, et ce même si on tente de les oublier. Ce genre de choses marque quelqu’un à vie. Surtout lorsqu’on les subit si jeune. Je n’étais donc encore qu’un enfant, et même un très jeune enfant. J’étais, avec toute ma famille, dans un campement qu’on avait installé depuis deux ou trois jours, si je ne me trompe pas. Quand je dis toute ma famille, ce n’était pas simplement mes parents, mais tout mon clan. Des guerriers nomades. De très bons guerriers, qui ne vivaient que pour se battre. D’ailleurs, je voulais devenir exactement pareil, c’était dans mes gènes après tout, je ne pouvais donc pas lutter contre cet appel. Tout allait pour le mieux, les événements de la journée suivant le même rythme que ceux d’hier, c'est-à-dire les tâches nécessaires à la vie quotidienne d’un campement. Mes parents étaient chargés, ce jour-ci, de le collecte de divers fruits, afin de renouveler notre stock qui commençait à diminuer fortement. Ils décidèrent alors d’en profiter pour faire une petite promenade, m’emmenant avec eux.

La forêt était calme, le seul bruit qui empêchait le silence de tomber étant le chant des oiseaux. Dans le ciel, le soleil brillait de toute sa lumière, même si les arbres cachaient en partie ses rayons. Tout annonçait donc une belle journée, tranquille et paisible. Et pourtant, ce n’était que la preuve qu’il ne fallait jamais se fier aux apparences, vu que ce ne fut nullement le cas. Cela commença par un mouvement dans un buisson, tout ce qu’il y a de plus classique donc. Mon père, le remarquant, se mit en position, prêt à tout ce qui pouvait arriver. Ma mère, elle, le rassura en disant que c’était certainement un lapin, ou n’importe quel autre animal du même genre. Si seulement elle ne s’était pas trompée. Mais, hélas, ce fut le cas. A peine quelques secondes après ses paroles, une dizaine d’homme surgirent autour de nous, armés et en position de combat. Bien évidemment, mes parents ne perdirent pas de temps et se mirent également en position de combat, faisant apparaître des os des paumes de leurs mains, comme pour mettre en garde les assaillants. Et pourtant, tout ce qu’ils firent, ce fut sourire. Oui, ils souriaient en voyant un tel spectacle, qui pourtant était inhabituel.

Alors, dans un rire commun, ils se mirent à nous charger, armes en avant. Naturellement, mes parents me crièrent d’aller en direction du campement, afin de prévenir le reste du clan, pendant qu’eux essaieraient de retenir le groupe inconnu. Mais c’était impossible, vu qu’on était totalement encerclés. Quoique je fasse, il n’y avait aucune issue possible et j’étais encore trop jeune pour faire quoi que ce soit. Je ne savais même pas encore contrôler mes os, que voulez vous que je fasse ? Enfin, le combat fut bref. L’avantage du nombre était net, et mes parents ne purent contenir leurs assauts. Sous mes yeux, ils se firent massacrer, sans avoir le temps de faire la moindre chose. Je contemplait cette scène macabre, en pleurant et en hurlant, tandis que les hommes se rapprochèrent de moi. Je n’entendis qu’une chose, avant de perdre connaissance.

« Ne le tuez pas ! N’oubliez pas que j’en veux un vivant, et lui est parfait. »

~5 ans auparavant~

Quatorze ans ont passés depuis cette incident, et je n’ai revu personne de mon clan depuis. A mon réveil, je me trouvais déjà dans la grotte où j’étais actuellement, enchaîné. Je me demandais bien évidemment pourquoi j’étais en vie, et je pleurais toujours sur le sort de mes parents. Je ne mis pas longtemps à apprendre la raison de ma survie. Cela faisait longtemps qu’ils suivaient notre campement. Ils étaient fascinés par les prouesses martiales du clan et leur capacité de contrôler leurs os. Ils nous considéraient comme des guerriers parfaits et ne voulaient plus qu’une chose. Avoir l’un des notre avec eux. Cela leur ferait un avantage certain. Car oui, ils ne nous voyaient que comme une arme utile. Bref, ils profitèrent que nous étions que tous les trois, mes parents et moi, pour m’enlever. Bien évidemment, ce ne fut que le hasard qui fit que ce fut moi leur cible. Ils voulaient juste un jeune garçon, qu’ils pourraient élever comme ils le souhaitaient, et étant donné qu’on était séparé du reste du campement, je faisais une cible idéale.

Pendant sep ans je fus donc élevé comme un chien, ayant pour seul but dans la vie que de leur obéir. Très vite, ils m’entraînèrent et essayèrent, à leur façon, de m’apprendre à contrôler mes os, vu que c’était la principale chose qui les intéressait. Ils me marquèrent du symbole de leur groupe, une croix rouge, sous l’œil gauche, et brûlèrent les deux points se trouvant sur mon front et témoignant de mon appartenance au clan. Je n’étais donc plus que leur animal, et j’étais marqué comme une bête. Avec le temps, j’appris ce qu’ils souhaitaient, c’est-à-dire à me battre avec mes os. Ce ne fut nullement grâce à eux, mais juste que c’était une chose naturelle pour les membres de mon clan, il était donc logique que je sache le faire un jour où l’autre. A quel âge je l’appris ? Je ne m’en souviens pas. Huit ou neuf ans. Mais déjà je savais me battre, ça ils s’en étaient bien chargés. Je transposa juste ce que j’avais appris afin de l’utiliser avec mes os. Et, à dix ans, j’étais déjà l’arme qu’ils souhaitaient.

Dans l’immense grotte que formait leur repère, j’avais une zone exprès pour moi. Situé sur le seul chemin possible pour arriver là où se trouvait réellement leur QG, aucun intrus ne pouvait pénétrer sans passer devant moi. Et, dans ce lieu, j’avais un avantage certain. Cette zone était continuellement plongée dans le noir, seuls quelques rares rayons de lumières bleutée la pénétrant. De plus, divers fossés la parsemait, fossés dans lesquels des pieux étaient installés. Ainsi, la seule façon de se déplacer sans mal était de connaître la typographie des lieux. Et, bien évidemment, tel était mon cas. Surtout que, étant donné que je vivais depuis longtemps dans le noir, je voyais mieux que la plupart des intrus, et j’avais donc un avantage certain. Donc, en raison de la disposition des lieux et de mon attitude au combat, aucun étranger ne pénétra plus profond dans la grotte. Très vite, je devins donc le garde idéal, mais ce n’est pas pour autant que ma vie était meilleure. Comme je l’ai dit, je n’étais qu’un chien. Un chien de garde pour être précis. Et, pour cela, je n’avais pas le droit d’être traité comme un humain. Je ne sortais que très peu, je restait juste là, à monter la garde, afin d’éviter que des intrus pénètres dans ces lieux afin de détruire le groupe qui m’exploitait, alors que moi-même je ne savais rien de leurs activités extérieures. Un extérieur que je ne connaissais pas, le monde se résumant à cette grotte privée de lumière.

~Quelque mois plus tôt~

Les années passèrent et se ressemblaient toutes. Je gardais toujours cette maudite grotte et je commençais à en avoir marre. Les souvenirs de la liberté et du monde extérieur étaient toujours présents en moi, et je ne rêvais que de les retrouver. Je devenais de plus en plus fort et je me savais capable de vaincre n’importe qui du groupe de bandits qui me maintenait en captivité. Le problème était que je n’avais aucun contact avec eux, ils me faisaient juste passer la nourriture par une ouverture dans la paroi de la grotte. Quand à la sortie, je ne pouvais la rejoindre en raison des solides chaînes qui restreignaient mes mouvements. Difficile de vaincre des ennemis qu’on ne pouvait pas approcher. Je restais donc ici, à empêcher les intrus d’entrer, car même s’ils voulaient, comme moi, la mort de mes geôliers, je ne pouvais me libérer comme ça. La seule fois où j’essayai de négocier avec les intrus, ils m’attaquèrent et je fus forcé de les tuer malgré tout. Quand à ceux qui me maintenaient prisonniers, ils me punirent en me privant de nourriture pendant plusieurs jours. Certes, ils tenaient à ma vie, mais pas à mon confort. J’étais donc dans cette situation sans issue, ayant gâché seize ans de ma vie, sachant que ce n’était certainement pas la fin.

Mais, heureusement, je me trompais. Un jour, l’un d’eux pénétra dans la pièce, pour la première fois depuis qu’ils avaient abandonné mon entraînement. S’approchant de moi, il ne craignait pas pour sa vie lui, il me libéra de mes entraves et me poussa, m’ordonnant d’avancer. Nous empruntâmes donc plusieurs longs couloirs sinueux, pénétrant plus profondément dans la grotte. Je ne connaissais nullement ce coin là, et je me demandais bien ce qu’ils me voulaient. Mais je n’eux pas à attendre très longtemps, car je me retrouvai déjà en face du chef, qui me parla directement.

« Toi, le chien. J’ai une mission pour toi. Nous comptons bientôt attaquer l’un de ces maudits clans, afin de prendre le contrôle de la zone tout autour. Tu vas nous servir de fer de lance. Ta mission sera de massacrer tout ennemi se trouvant devant toi, quels qu’en soient les risquent. Cela nous facilitera grandement la tâche. Bien entendu, tu n’as pas le droit de refuser. »

Cette voix, c’était bien évidemment à lui que je devais ma survie. Et, ce qu’il ne savait pas, c’est que j’allais aussi gagner ma liberté grâce à lui. Car il devait vraiment être idiot pour penser que j’allais accepter comme cela. Lui plus que les autres devait se rendre compte de ma puissance. J’étais largement au dessus d’eux, c’était certain. Et il venait me libérer de mes fers. Je ne pouvais pas faire autrement. J’allais les massacrer eux et ainsi retrouver ma liberté.

« Tu me sembles bien présomptueux. Tu viens de m’offrir une occasion rêvée, celle que j’attends depuis si longtemps. Tu vas donc mourir, pendant que moi je savourerai enfin ma liberté. »

Je ne perdis pas de temps et fonçai sur le chef de mes geôliers, os saillants, toute ma haine envers eux se libérant enfin. La surprise qu’il eut l’empêcha de réagir et un os sortant de ma paume de main pénétra lentement sa chair, s’enfonçant jusque dans son cœur. Ce fut bref et rapide, mais il était enfin mort, tandis que ses hommes regardaient avec horreur. Ils mirent plusieurs secondes à réagir, mais finirent par m’attaquer à leur tour. Je n’allais pas faire la même erreur que mes parents. Dansant entre mes ennemis, j’attaquais et me défendais par des mouvements rapides. Comme je le pensais, j’étais un niveau au dessus d’eux, et ils ne faisaient pas le poids. Plusieurs de leurs attaques me touchèrent, mais je renforçais ma défense naturelle en créant une couche de cartilages en dessous de ma peau. Leurs armes s’arrêtaient donc à cette muraille extrême, tandis que moi je répondais en attaquant de nouveau. Au bout de plusieurs minutes, j’étais épuisé, mais victorieux. J’avais bien évidemment quelques blessures sur le corps, mais aucune n’était profonde. Alors que mes adversaires gisaient tous sans vie devant moi. Enfin j’étais libre.

~Actuellement~

La silhouette se releva donc, prêt à avancer en direction du campement. Il avait mit longtemps à retrouver les siens et, maintenant qu’il connaissait leur emplacement, il préférait s’infiltrer, tuant sa seule famille, alors qu’il lui suffisait de se présenter devant eux. Mais il fallait avouer que vivre seize ans dans une grotte, sans contact extérieur, était assez spécial et laissait forcément des séquelles. Enfin, il n’était pas débile non plus, mais simplement qu’il avait quelques réactions assez particulières. Il avait donc décidé d’entrer en beauté dans le campement, et de prendre la place du chef, ni plus, ni moins. Après tout, il se considérait comme supérieur à eux, et ce pour une raison obscure. Pourtant, ils devaient être bien meilleurs que lui dans le contrôle de leur particularité, et niveau combats, ils ne devaient pas avoir grand-chose à lui envier, au contraire. Mais pourtant, il était ainsi, et il comptait bien arriver à ses fins.

Il s’approcha donc le plus possible de l’entrée du campement, et vit que celle-ci était gardée par deux hommes, chose logique. Il était bien trop dangereux de risquer de se mesurer à eux, il fallait donc qu’il fasse le tour. Le camp étant situé dans une clairière, il pouvait très bien passer par la forêt et trouver un passage. Après tout, les Kaguya étaient des nomades, ils n’avaient donc pas une forteresse. Il pénétra donc dans le couvert des bois, faisant attention aux gardes. Il était bien plus facile de les esquiver eux que celui qu’il avait été forcé d’éliminer. Et il ne lui fallu pas longtemps pour trouver ce qu’il cherchait, c'est-à-dire un petit passage, qu’il emprunta, pénétrant donc dans le camp.

Maintenant, le plus dur était fait. Il ne lui restait que deux choses à faire. Trouver la tente du chef, et l’éliminer. Ensuite, vu qu’ils étaient des guerriers, ils suivaient certainement la loi du plus fort et allaient donc forcément l’accepter en tant que Chef. Et, à ce moment là, il aurait eut exactement ce qu’il souhaitait. Commençant donc à pénétrer lentement au sein du dédale de tente, cherchant la plus grande, qui était certainement celle du Chef, il ne fit malgré tout pas suffisamment attention. Après tout, il était beaucoup plus à découvert que dans les bois et il y avait plus de torches, rendant le couvert de l’obscurité moins présent. Et un garde attentif l’aperçut. Directement, il donne l’alerte, tandis qu’il se dirigea vers l’intrus, faisant sortir un os de son épaule, afin de s’en servir comme arme. Le mystérieux homme, lui, allait devoir se battre, il n’avait plus le choix. Faisant jaillir des os de ses paumes, sa technique favorite, il fonça sur son adversaire. Bien évidemment, celui-ci était surpris, vu que seuls les Kaguya pouvaient utiliser ainsi leurs os. Mais il s’agissait d’un combattant expérimenté, plus que les bandits que l’homme avait éliminé il y a quelques mois. Il se ressaisit donc très vite et, se défendit de façon plus qu’honorable, contrant les attaques de son ennemi avec l’os qui lui servait de sabre. Et il tint suffisamment longtemps pour que les renforts arrivent, maîtrisent l’intrus et l’emmènent devant leur chef, qui ne manqua pas de le questionner.

« Etranger, comment cela se fait-il que tu maîtrises le pouvoir qui se transmet chez nous de génération en génération ? Parle, et vite, si tu tiens à la vie.
-Ce n’est pourtant pas compliqué à comprendre. Je suis de la même famille que vous, tout simplement. Juste que j’ai été éloigné des miens pendant longtemps.
-C’est impossible. De plus, pourquoi cherchais –tu à pénétrer ici sans que personne ne le remarque, tout en tuant sur ton passages, ceux qui seraient tes frères ?
-C’est pourtant simple à comprendre, vieil imbécile. Je veux ta place, c’est tout. Et je suis prêt à tout pour cela.
-Toi ? Prendre ma place ? Et tu t’en crois vraiment capable ? Pour cela, il faudrait que tu me tu tues, chose irréalisable dans ton cas.
-Oui je m’en crois capable. Je suis même certain d’y arriver.
-Tu n’as pas froid aux yeux, et ça me plait. Bien, battons nous et celui qui survivra gagnera la tête de ce clan. Tel sont nos traditions. »

L’étranger fut donc mené à l’intérieur, suivi par le Chef des Kaguya. Un cercle se forma alors autour des deux adversaires, alors que le combat allait commencer. Bien évidement, ils ne doutaient pas de la victoire de leur chef, surtout que, vu l’apparence du fou qui le défiait. Aveugle, du moins c’était la seule explication au bandeau sur ses yeux, malade, vu la pâleur de sa peau. Il n’avait rien pour lui permettre de gagner, alors que leur chef était en pleine forme. C’était évident, cela allait faire une victime de plus pour le plus puissant de Kaguya.

Sans perdre de temps, les deux opposants se chargèrent, leurs os saillants, prêt à déchirer la chair de leur adversaire. Quel spectacle qu’est un combat entre deux Kaguya. Cette chose rare est d’une beauté époustouflante, vu l’élégance de leurs gestes. Après tout, leurs attaques étaient des Danses, comme ils les appelaient, donc lorsque les deux les utilisais, cela donnait un combat à ne pas rater. Et pourtant, malgré l’élégance de la scène, la violence était belle et bien présente. Les os qui s’entrechoquaient, ou encore pénétraient le corps de l’un des deux adversaires. Le sang qui coulait. Tout ramenait à une seule réalité. Il ne s’agissait non pas d’un spectacle, mais d’un combat à mort.

A la grande surprise des spectateur, l’étranger se débrouillait bien, et même très bien. Il faisait jeu égal avec leur dirigeant et ils se dirent qu’il était dommage qu’un tel combattant n’ait pas décidé de les rejoindre sans histoire, et ait préféré la folie de vouloir prendre la place de maître du clan. Le combat commençait à durer, et les deux adversaires étaient en sang, épuisés. Et, dans ce genre d’affrontement, une chose prime. La vitalité et l’endurance. Et, même s’il n’était pas vieux, l’âge du chef donnait un léger désavantage sur ce point. Alors que lui commençait à peiner pour faire le moindre mouvement, son challenger était déjà un peu plus en forme, même s’il était aussi en piteux état. Et cela lui donna la victoire. Dans un dernier assaut, le plus vieux des deux Kaguya n’avait plus suffisamment de force pour bien exploiter sa vitesse, et le jeune esquiva sans trop de mal, tandis qu’il lui plantait un os dans le cœur, signant la mort du chef des Kaguya et la victoire de l’étranger. Victoire difficile, vu qu’il n’avait plus beaucoup de force non plus, mais méritée. Alors qu’il tombait à terre, épuisé, des murmures montèrent dans l’assemblée autour de lui. Peu à peu, ils se mirent à applaudir, tandis que l’un d’eux s’approchait.

« Pourrait-on connaître le nom de notre nouveau Chef ?
-Bien sûr. Je me nomme Shin. Kaguya Shin. »

Évaluation du Test RP pour mise à niveau :

Mise en page :
C'est simplement la mise en forme du texte, les couleurs utilisées etc...
10/10 - 10
Commentaires : Excellent, rien à redire.

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Synthaxe :
Tout ce qui concerne la ponctuation et la structure des phrase.
10/10 - 25
Commentaires : Bah pareil hein, commenter un truc parfait c'pas dur x)

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Orthographe :
L'orthographe et la conjugaison des verbes
08/10 - 22
Commentaires : Bwhahahaha ! J'ai grillé pas mal de faute. Mais pour une longueur pareil faut pas trop en demander. x)

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Interêt du test rp :
Si l'histoire est bien modelé, cohérente etc...
10/10 - 35
Commentaires : J'ai a-do-ré *..* L'histoire est d'une cohérence sans pareil, j'avais l'impression de lire un roman ! Vraiment génialissime.

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Résultat final :
Niveau évalué : 92
Niveau actuel : -
Niveau final : 92

» Shin no Maki